Des traces de peinture noire tachent ses doigts.
(...) La veille, pot et pinceau à la main, il a crapahuté pour accéder à un toit de Ménilmontant, le quartier du XXe arrondissement parisien où il vit.
Sur une cheminée, avec le clocher de l’église comme témoin, il a écrit :
« Et s’il fallait pour un tempsMettre de côté le printempsEt affronter ce qui m’empêcherait longtempsSous le ciel de Ménilmontant. »
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« Je m’appelle Aristide et je vais pas faire le mytho, l’histoire de l’art j’connais pas trop. »
Nous voilà prévenus. Et pourtant, en trois minutes et vingt secondes montre en main, Aristide Barraud nous mène à la rencontre d’œuvres hétéroclites qui, mises bout à bout au milieu de ses croquis animés, dessinent en creux le portrait sensible et sincère de cet ancien rugbyman professionnel, dont la carrière fut stoppée net.
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