« Ceux qui ont vu Paccoud sur scène rentrent chez eux enveloppés d’un frisson, celui de la nécessité et de la beauté de la parole. Ainsi peut-elle surgir avec lui sous la forme d’une histoire future, d’un cri d’animaux, d’un chant d’ici ou d’un dire cabossé, d’une rengaine à venir ou d’une symphonie de trottoir.Voici tout ce que Paccoud pose sous nos yeux et souffle dans nos poitrines, il est là, et nous rappelle que nous sommes là aussi et qu’ainsi cela ne pourra pas cesser, et que la parole ne se taira pas. »
Dimanche 5 mars à 18h
Le Scénobar
6, rue Victor Letalle