Comme l’établissement de Tristan Monteiro, une dizaine de commerces alimentaires -principalement des boucheries - ont été vandalisés le long de la rue des Pyrénées (XXème arrondissement). Ce n’est pas la première fois que l’artère est prise pour cible.
Vers le dépôt d’une plainte collective
"On ne tape que sur nous, alors qu’on est contre l’ensilage, l’enrubannage et les pratiques industrielles. Je n’ai aucun produit industriel dans mon magasin, c’est ça qui me tue.C’est une guerre d’images", conclut Tristan Monteiro.