Tristan Monteiro ne décolère pas. Ce mardi 1er septembre au matin, le fromager a découvert son établissement vandalisé. Plusieurs graffitis, certains assimilant notamment les éleveurs à des violeurs, ont été inscrits sur ses vitrines.
Comme l’établissement de Tristan Monteiro, une dizaine de commerces alimentaires -principalement des boucheries - ont été vandalisés le long de la rue des Pyrénées (XXème arrondissement). Ce n’est pas la première fois que l’artère est prise pour cible.
Vers le dépôt d’une plainte collective
"On ne tape que sur nous, alors qu’on est contre l’ensilage, l’enrubannage et les pratiques industrielles. Je n’ai aucun produit industriel dans mon magasin, c’est ça qui me tue.C’est une guerre d’images", conclut Tristan Monteiro.
Source, lire l’article complet sur RTL.fr
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