Chaque jour, le romancier arpente le pavé, casquette sur la tête, glanant des idées, des expressions, des silhouettes qui deviendront des personnages. « Belleville ressemble stylistiquement aux Malaussène » confie-t-il. Entre le premier Malaussène, Au bonheur
des ogres, en 1985, et le dernier paru, Terminus Malaussène, le temps a passé, certains lieux ont disparu mais l’esprit est là. Toutes les populations ont leurs représentants à Belleville ».
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Entretien : Christine Ferniot / Réalisation : Pierrick Allain, Marine Legohébel
Images additionnelles : Extrait de Belleville et Ménilmontant de Léa Bordier