Cuisine, jardinage, vaisselle ou cirage de bottes (au sens propre !) : les tâches ménagères des disciples saint-simoniens peuvent rappeler celles de notre premier confinement – sauf que leur "retraite" (plus religieuse que militaire) est volontaire...
À la lumière de cette estampe, Anne-Bérangère Rothenburger, conservatrice à la Bibliothèque de l’Arsenal, propose de revisiter les particularités de ce confinement saint-simonien.