La détresse des exilés afghans en soins psychiatriques

Via What’s up Doc

Publié le mercredi 17 novembre 2021

Dans ce centre de soins du XXe arrondissement de Paris, qui a ouvert ses portes à l’AFP, 120 patients sont suivis régulièrement, dont 80% d’Afghans.

La cellule du GHU dédiée à la santé mentale s’est montée, il y a un an, pour accompagner les exilés dans la durée.

« Stress post-migratoire »

Elle apparaît cependant comme un sparadrap sur une plaie béante. En attendant le renfort de deux médecins, l’établissement parisien n’est ouvert que deux jours par semaine. Les demandes pleuvent, les consultations s’enchaînent (...)

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