La cellule du GHU dédiée à la santé mentale s’est montée, il y a un an, pour accompagner les exilés dans la durée.
« Stress post-migratoire »
Elle apparaît cependant comme un sparadrap sur une plaie béante. En attendant le renfort de deux médecins, l’établissement parisien n’est ouvert que deux jours par semaine. Les demandes pleuvent, les consultations s’enchaînent (...)