(...) Masami Charlotte Lavault s’inquiète [aussi] d’une « profession sinistrée », ravagée par la concurrence des pays de la ceinture tropicale. « 85 à 90 % des fleurs dans le commerce sont importées et il n’y a pas de possibilité de le savoir puisqu’il n’y a pas de traçabilité dénonce-t-elle. Et en général, les fleurs sont produites dans des conditions de travail hyper difficiles, souvent par des femmes, et avec zéro limitation au niveau de l’utilisation des intrants. Ça pollue les sols et les biotopes sont complètement détruits. »
(Photo Novello - 20mn)