30 à 40% des bars et clubs indépendants pourraient disparaître définitivement
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Les assurances refusent de couvrir les pertes d’exploitation entraînées par la pandémie de coronavirus. Un choix dénoncé par les syndicats et collectifs représentatifs des établissements de nuit (Umih, Sneg, Bar-Bars) qui s’alarment des conséquences tragiques sur un secteur économique déjà en difficulté avant la crise.
« Les assureurs couvrent des risques et pas des crises systémiques ».
L’argument, tenu en off par la fédération française des assurances (FFA) pour justifier ses réticences à dédommager les pertes d’exploitations liées à la pandémie, n’est pas de nature à convaincre les établissements de nuit, contraints à fermer leurs portes pour plusieurs semaines encore. Alors que les trous dans les trésoreries s’agrandissent chaque jour un peu plus pour les bars indépendants, cafés-concerts, clubs et autres lieux culturels de nuit, la position du secteur de l’assurance passe mal.
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