« Les assureurs couvrent des risques et pas des crises systémiques ».
L’argument, tenu en off par la fédération française des assurances (FFA) pour justifier ses réticences à dédommager les pertes d’exploitations liées à la pandémie, n’est pas de nature à convaincre les établissements de nuit, contraints à fermer leurs portes pour plusieurs semaines encore. Alors que les trous dans les trésoreries s’agrandissent chaque jour un peu plus pour les bars indépendants, cafés-concerts, clubs et autres lieux culturels de nuit, la position du secteur de l’assurance passe mal.