Sa garde à vue avait été prolongée jusqu’au lendemain. Refusant le fichage de ses empreintes digitales, de son ADN et de donner son code de déverrouillage de son téléphone, l’étudiante et libraire a finalement été relaxée lundi 27 mars faute de faits caractérisés.
Solidarités
Camille, libraire à Ménilmontant, relaxée après son passage en comparution immédiate
Interpellée durant la manifestation du jeudi 23 mars et placée depuis samedi en détention provisoire, elle était accusée d’avoir participé à visage dissimulé à des actes de violences et de dégradation.
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