"Compte tenu de l’ampleur de la crise qui frappe le secteur, la mesure, assortie de plusieurs contrepartie sera reconduite", a expliqué le premier adjoint d’Anne Higaldo, Emmanuel Grégoire.Parmi les critères à respecter : la fermeture des terrasses à 22 heures, la limitation des nuisances sonores pour les riverains ou la signature d’une charte dans laquelle les brasseurs s’engagent à faire respecter les mesures sanitaires.
En cas de non-respect des conditions, les patrons de bars et restaurants pourraient être sanctionnés d’une amende de 168 à 500 euros.
Par ailleurs, l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (UMIH) lancera lundi la procédure des cahiers de rappel. Ainsi, les patrons pourront collecter les coordonnées des clients qui voudraient être contactés si un cas de coronavirus était suspecté dans leur établissement.