L’histoire de Marie-Louise Bouquiaux, le « monstre de Ménilmontant »

Publié le mardi 19 novembre 2019

Qu’est-ce qui a pu valoir ce macabre surnom à cette riveraine du Nord de Paris ? Marie-Louise Bouquiaux aurait pourtant bien pu appartenir au commun des mortels, tant elle est passée près du crime parfait…

Il faut alors remonter 70 ans en arrière, lors d’une glaciale nuit de février 1948, pour entrevoir l’horreur.

Marie-Louise, femme autoritaire, est alors lasse des tribulations infidèles de son mari, Émile Bouquiaux, étant lui-même excédé par l’attitude de sa femme. Cette dernière invite sa soeur et sa nièce à boire le café à la tombée de la nuit dans sa maison du 53 rue de Reuilly…
S’en suivent alors de longues heures de discussion jusqu’à l’aube. À 5 heures du matin, après moult ardents échanges avec ses hôtes du soir, c’en est trop, la maîtresse de maison monte d’un pas décidé vers la chambre dans laquelle dort paisiblement son mari (...)

Hondelatte raconte - Marie-Louise Bouquiaux, le crime presque parfait

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