Plusieurs dossiers en lien avec la sécurité ont été évoqués :

 Les nuisances sonores qui constituent une gêne à l’origine de conflits et d’une dégradation de la qualité de vie
 Les violences faites aux femmes qui sont un véritable fléau puisque ce sont 500 plaintes actuellement enregistrées dans l’arrondissement
 Les trafics de drogue qui ont des conséquences terribles pour les jeunes
 Les rivalités et conflits entre jeunes qui peuvent donné lieu à des tragédies comme des blessures au couteau (en juillet 2022) voire meurtres (2018)
 Les interventions policières violentes (comme celle de la Place de la Réunion qui avait traumatisé les habitants victimes collatérales de l’emploi de gaz lacrymogènes)

Sophia Chikirou a tenu à remettre au Commissaire le livret thématique de la France insoumise « Pour refonder la police ».

Le commissaire a présenté le dispositif qu’il a mis en place pour l’accueil des victimes de violences conjugales : accueil prioritaire, salle d’audition spécialement aménagée, psychologue et intervenant social regroupés au même étage, « safe room » (chambre avec salle de bain ) pour mettre à l’abri une nuit des femmes victimes de violences. Ce dispositif devrait être la norme dans tous les commissariats.

La police ne doit pas oublier qu’un mineur est un enfant

Enfin, le commissaire et la députée ont convenu de travailler ensemble sur la mise en lien entre les différents acteurs locaux des quartiers Belleville-Amandiers et la police, pour coordonner les efforts dans la protection de l’enfance. « La police ne doit pas oublier qu’un mineur est un enfant » a rappelé Sophia Chikirou, qui a assuré le Commissaire et les personnels du commissariat de son engagement républicain pour le bien des habitants.