Les Clubs pendant La Commune de 1871
Les clubs communards du printemps 1871 nous interrogent sur l’existence possible d’une démocratie directe.
Les clubs communards du printemps 1871 nous interrogent sur l’existence possible d’une démocratie directe.
« En bas de chez moi la boulangerie s’appelait Marx et dans la rue des Pyrénées, le fromager où l’on achetait le lait s’appelait Lacan. J’ai bu le lait de Lacan et j’ai mangé le pain de Marx. »
Malgré l’adoption de vœux en Conseil d’arrondissement du 20e et au Conseil de Paris pour qu’une station de métro comme la station de Belleville soit renommée Belleville-Commune de Paris de 1971 (...)
Michèle Audin sera à Libre Ère le 18 octobre pour présenter et échanger autour de son livre "Eugène Varlin, ouvrier-relieur 1839-1871" publié chez Libertalia
Direction la Parole errante à Montreuil pour le festival des Cantines autogérées en passant par la cantine des Pyrénées et sa fresque magique
(...) Il est plus que jamais important que nous puissions rappeler l’œuvre de la Commune, l’action de ces femmes et de ces hommes qui ont lutté jusqu’au sacrifice de leur vie pour une société de justice.
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